Ému en prenant la parole pour la première fois dans ses nouvelles fonctions, M. Paradis a promis que l’institution ferait preuve de plus de transparence sous son règne.
Lors d’une mêlée de presse, le premier ministre François Legault a justifié le choix de M. Paradis à cette prestigieuse fonction en disant que le député de Lévis était «respecté par ses collègues de tous les partis», une condition pour accéder au trône de la présidence.
Pour mener à bien sa tâche, M. Paradis sera secondé par le député de Chutes-de-la-Chaudière, Marc Picard, et la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, aux postes de vice-présidents.
La troisième vice-présidente, qui doit être issue des rangs de l’opposition officielle, sera la députée libérale de Hull, Maryse Gaudreault, qui occupait déjà la fonction de deuxième vice-présidente sous les libéraux.