Midi moins quart

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Attaquée à mort, Honey ne rentrera plus à la maison

Maïthée Pellerin

C’est une histoire comme on en entend trop souvent. Une histoire qui a mal tourné pour une famille de Notre-Dame-du-Mont-Carmel. L’histoire du petit chien Honey, qui se termine de façon tragique, sans nécessairement que ça fasse la une des journaux. Pourtant, c’est aussi une histoire qui appelle à la réflexion, spécialement chez les propriétaires d’animaux, qu’on a beau connaître notre compagnon à quatre pattes, il faut toujours demeurer vigilant.

Maïthée Pellerin a encore du mal à raconter cette histoire sans avoir le trémolo dans la voix.

Mais elle l’a fait pour notre chroniqueuse Paule Vermot-Desroches, qui nous raconte, dans ses mots touchants et percutants, cette histoire.

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Les Québécois veulent une baisse du taux d’alcoolémie à 0,05

Six Québécois sur 10 se disent en faveur de la diminution du taux d'alcool permis sur les routes, selon un sondage réalisé pour les Coops de l'information, au début du mois de novembre.

Alors que les partys de Noël s’amorcent, les Québécois sont résolument en faveur de la baisse du taux d’alcoolémie à 0,05 pour prendre le volant, malgré l’opposition du gouvernement.

Six Québécois sur 10 voudraient voir le taux d’alcool permis dans le sang des automobilistes passer de 0,08 à 0,05, démontre un sondage SOM-Les Coops de l’information.

Ce résultat va à l’encontre du gouvernement caquiste qui a rejeté cet automne la recommandation d’un coroner d’étudier la question.

Et vous? Qu’en pensez-vous? Seriez-vous favorable à une baisse du taux d’alcoolémie toléré pour prendre le volant?

Patricia Rainville, journaliste de l’équipe d’impact des Coops de l’information, nous donne tous les détails.

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Karl Tremblay: l’hommage collectif est nécessaire

L’idée de tenir des funérailles nationales pour rendre hommage à Karl Tremblay est parfaitement justifiée, selon notre chroniqueur Martin Francoeur. Selon lui, c’est précisément à cela que doivent servir des funérailles nationales ou une forme de commémoration prise en charge ou soutenue par l’État: permettre à la nation de témoigner sa sympathie, de vivre ensemble un moment fort, de rendre hommage à un individu qui, par sa personnalité, son œuvre ou son rayonnement, a contribué à faire du Québec une nation plus forte, plus fière.

Mais inévitablement, la question des funérailles nationale s’associe souvent à un exercice de comparaison : pourquoi lui en aurait et untel n’y a pas eu droit? Pourquoi Karl Tremblay aurait des funérailles nationales mais que Jean Lapointe ou Michel Côté n’y ont pas eu droit?

Notre chroniqueur se penche sur la question.

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