Attaquée à mort, Honey ne rentrera plus à la maison
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C’est une histoire comme on en entend trop souvent. Une histoire qui a mal tourné pour une famille de Notre-Dame-du-Mont-Carmel. L’histoire du petit chien Honey, qui se termine de façon tragique, sans nécessairement que ça fasse la une des journaux. Pourtant, c’est aussi une histoire qui appelle à la réflexion, spécialement chez les propriétaires d’animaux, qu’on a beau connaître notre compagnon à quatre pattes, il faut toujours demeurer vigilant.
Maïthée Pellerin a encore du mal à raconter cette histoire sans avoir le trémolo dans la voix.
Mais elle l’a fait pour notre chroniqueuse Paule Vermot-Desroches, qui nous raconte, dans ses mots touchants et percutants, cette histoire.
Les Québécois veulent une baisse du taux d’alcoolémie à 0,05
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Alors que les partys de Noël s’amorcent, les Québécois sont résolument en faveur de la baisse du taux d’alcoolémie à 0,05 pour prendre le volant, malgré l’opposition du gouvernement.
Six Québécois sur 10 voudraient voir le taux d’alcool permis dans le sang des automobilistes passer de 0,08 à 0,05, démontre un sondage SOM-Les Coops de l’information.
Ce résultat va à l’encontre du gouvernement caquiste qui a rejeté cet automne la recommandation d’un coroner d’étudier la question.
Et vous? Qu’en pensez-vous? Seriez-vous favorable à une baisse du taux d’alcoolémie toléré pour prendre le volant?
Patricia Rainville, journaliste de l’équipe d’impact des Coops de l’information, nous donne tous les détails.
Karl Tremblay: l’hommage collectif est nécessaire
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L’idée de tenir des funérailles nationales pour rendre hommage à Karl Tremblay est parfaitement justifiée, selon notre chroniqueur Martin Francoeur. Selon lui, c’est précisément à cela que doivent servir des funérailles nationales ou une forme de commémoration prise en charge ou soutenue par l’État: permettre à la nation de témoigner sa sympathie, de vivre ensemble un moment fort, de rendre hommage à un individu qui, par sa personnalité, son œuvre ou son rayonnement, a contribué à faire du Québec une nation plus forte, plus fière.
Mais inévitablement, la question des funérailles nationale s’associe souvent à un exercice de comparaison : pourquoi lui en aurait et untel n’y a pas eu droit? Pourquoi Karl Tremblay aurait des funérailles nationales mais que Jean Lapointe ou Michel Côté n’y ont pas eu droit?
Notre chroniqueur se penche sur la question.