Le bâtiment sera également équipé de pièces communes, telles qu’un salon et une cafétéria, dans le but de créer un milieu de vie agréable auprès des futurs locataires. Les unités d’habitation seront subventionnées, ce qui permettra aux futurs locataires de consacrer au maximum 25% de leur revenu pour le paiement de leur loyer.
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Il s’agit d’une idée qui a surgi lors d’une rencontre de parents qui ont des enfants souffrant d’un handicap intellectuel. Les parents cherchaient un moyen pour que leurs enfants deviennent plus autonomes et responsables.
«L’autodétermination, c’est de prendre en considération leur volonté à eux autres pour leur développement», explique Guy Caron, président de l’organisme. «La demande est grande pour ce type de logement. Il y a environ 140 personnes à Trois-Rivières qui répondent aux critères d’admissibilité mais qui sont contraintes de continuer à vivre chez leurs parents», ajoute Guy Caron.
Une de difficultés rencontrée en cours de route est l’explosion des prix des matériaux. Le montant du budget initial a augmenté considérablement et plusieurs intervenants gouvernementaux entrent en ligne de compte dans le calcul. Cette seconde activité de financement est donc nécessaire et semblable à celle initiée l’année dernière à pareille date. L’objectif cette année est fixé à 8000$.