Proximité PME présente des contenus qui mettent en valeur des approches et pratiques, d’ici et d’ailleurs, à la fois innovantes et inspirantes. À surveiller le samedi: des cas d’entreprises du Québec qui s’illustrent sur des enjeux importants du monde des affaires.

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Après avoir fait ses premiers pas l’été dernier dans l’univers des NFT, ses jetons non fongibles utilisés par des entreprises pour offrir de nouvelles expériences numériques à leurs clients, la société française Yves St Laurent Beauté vient de répéter l’expérience et discute de cette nouvelle stratégie de fidélisation dans un article du Journal du Net.

« Cette plongée dans le Web3 s’explique par la volonté d’explorer cet univers. C’est un sujet tout nouveau pour les marques du groupe, donc il y a tout à construire, tout à apprendre aussi », commente Diane Hecquet, directrice internationale du digital de cette marque de luxe.

L’entreprise souligne avoir adopté une approche de test et apprentissage, avec l’idée d’emmagasiner un maximum de connaissances.« Cela peut paraître évident, mais nous avons constaté un besoin d’éducation sur ce sujet, que ce soit en interne mais aussi pour nos communautés Yves Saint Laurent existantes », explique-t-elle.

Elle souhaite du même coup obtenir un maximum de rétroaction. « Notre volonté est de mieux connaître cette communauté, répondre à ses attentes, à ses questions, pour être le plus pertinent et le plus juste vis-à-vis d’elle. »

La société se dit satisfaite du lancement de sa première collection de NFT en juin 2022. « Cela a véritablement permis de créer une communauté Web3 autour d’Yves Saint Laurent Beauté puisqu’il y a 24 000 personnes qui détiennent aujourd’hui un de nos NFT », précise-t-elle. Elle indique avoir profité d’un taux d’engagement très élevé, tout en donnant plus de visibilité à son programme de lutte contre les violences conjugales, appelé Abuse is not love.

Pour en savoir plus : « Le Web3 est une façon pour YSL Beauté d’explorer une nouvelle forme de fidélisation client »

En collaboration avec l’École d’Entrepreneurship de Beauce