Chronique|

La danse des nids-de-poule

Les villes n'arrivent pas à assurer l'entretien des rues. Peut-être est-il temps de revoir la façon des réparer, mais aussi de les concevoir.

CHRONIQUE/ Au rythme actuel, il faudrait 20 ans pour réparer les rues sherbrookoises considérées prioritaires. Pas toutes les rues. Juste les rues les plus abimées… en ce moment. Est-ce normal?