Les villes n'arrivent pas à assurer l'entretien des rues. Peut-être est-il temps de revoir la façon des réparer, mais aussi de les concevoir. (Maxime Picard/La Tribune)
CHRONIQUE/ Au rythme actuel, il faudrait 20 ans pour réparer les rues sherbrookoises considérées prioritaires. Pas toutes les rues. Juste les rues les plus abimées… en ce moment. Est-ce normal?