Un soldat russe posté devant la centrale nucléaire de Zaporijjia. (AP)
UKRAINE - J’avais remarqué Galina au cœur du groupe d’entraide. Parce qu’elle a ce regard bleu très clair qui me rappelle celui de ma grand-mère. Parce qu’elle a aussi cet air grave et sévère qui ne la quitte pas de toute la rencontre. Quand les autres femmes réfugiées à Odessa se lèvent pour quitter la salle, elle ne les suit pas.