L'entreprise BRP soutient qu'elle retient 60% du salaire de ses travailleurs mexicains en échange d'offrir l'hébergement, la nourriture et le transport. (Archives La Tribune, Jessica Garneau/Archives La Tribune, Jessica Garneau)
CHRONIQUE / L’histoire des travailleurs mexicains de BRP soulève plusieurs questions éthiques. L’entreprise de Valcourt a beau se cacher derrière la loi, ça prend plus d’explications pour comprendre pourquoi des travailleurs étrangers n’empochent que 225 $ par semaine.
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