{"accessibility":"METERED","authors":[{"description":{},"email":"atremblay2@lenouvelliste.qc.ca","imageUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm-v2.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F1b8ef98e-cbd7-438c-9757-24065606ec78.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","location":"Trois-Rivières","name":"Audrey Tremblay","source":"Le Nouvelliste","twitter":""}],"channel":"Affaires","chapters":[{"position":0,"text":"

«On a été surpris et étonné, mais en même temps on comprend. Il y a des ajustements à avoir entre le monde corporatif et municipal. On comprend aussi que ce n’est pas le point de vue du conseil de ville, c’est son point de vue personnel», a commenté Dany Chilton, vice-président de BELT.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"author":"Dany Chilton, vice-président de BELT","position":1,"text":"

Le projet de BELT constitue une opportunité exceptionnelle pour positionner La Tuque dans le secteur des bioénergies. On ne peut pas s’opposer à de l’innovation.

","type":"quote","contents":[],"photos":[]},{"position":2,"text":"

Bioénergie La Tuque veut construire une bioraffinerie alimentée par les résidus forestiers, qui pourrait produire annuellement plus de 200 millions de litres de carburant totalement renouvelable.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":3,"text":"

Le nouveau directeur général de La Tuque, qui a dirigé l’usine de pâtes et papier de La Tuque pendant plus de 15 ans, a réitéré son opposition au projet de BELT dans son état actuel en début de semaine. Pierre Pacarar a souligné qu’il s’agissait pour lui d’un «mauvais projet pour la communauté» et qu’il était devenu un «projet grandiose qui, malheureusement, est inapplicable en Haute-Mauricie».

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":4,"text":"

«Mon opposition était celle d’un Latuquois qui voit l’ensemble du réseau économique industriel de La Tuque au niveau forestier. Étant donné que c’est le cœur de l’économie de la Haute-Mauricie, j’étais convaincu que c’était un mauvais projet et je le demeure», a-t-il affirmé.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":5,"text":"

BELT, qui est devenu une entité Atikamekw, assure le projet est bien vivant. Il entend bien le démontrer et souhaite d’ailleurs faire mieux en matière de communication.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":6,"text":"

«Le projet n’est pas en péril, ça fonctionne très bien. C’est son point de vue personnel qui a été émis et il n’y a pas de panique pour nous par rapport à ça. Tout fonctionne selon nos plans actuellement», assure Dany Chilton.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":7,"text":"

Ce dernier estime que les propos de M. Pacarar n’ont pas non plus refroidi les investisseurs.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":8,"text":"

«C’est évident qu’il y a des rencontres qui sont nécessaires par rapport à ses propos […] Le projet va avoir lieu, ici ou ailleurs, mais on préférerait qu’il ait lieu ici en territoire Atikamekw», précise-t-il.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":9,"text":"

Dany Chilton a d’ailleurs félicité le conseil de ville pour la nomination de son nouveau directeur général. Il pense que son expertise sera une valeur ajoutée pour la Ville.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":10,"text":"

BELT a également réagi aux propos récents du maire de La Tuque qui affirmait que la Ville allait appuyer ce projet-là seulement s’il y a une acceptabilité sociale et qu’il devait avoir des décisions en 2023 pour «ne veut pas que ça prenne des dizaines d’années».

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":11,"text":"

«On va s’assurer que les gens soient bien au courant des étapes. Un projet de cette envergure nécessite quand même une certaine patience. […] Évidemment, ce ne sera pas la semaine prochaine que le projet va commencer. On ne veut pas donner de date pour ne pas créer d’attentes. On veut que toutes les étoiles soient alignées avant de dépenser 1,2 milliard $. C’est là-dessus qu’on travaille actuellement», indique Dany Chilton.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":12,"text":"

Le vice-président de BELT assure que le projet a l’acceptabilité sociale, même s’il reconnaît qu’il est impossible de faire l’unanimité. Ce qu’il souhaite, c’est le plus large consensus possible.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":13,"text":"

«Nos portes sont toujours ouvertes. On veut prioriser la collaboration entre tous les acteurs du milieu et s’assurer que ce projet d’avenir qui répond à une économie durable ait lieu à La Tuque», insiste-t-il.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":14,"text":"

En plus de compléter actuellement les études de la phase 2, pour laquelle Québec a investi 5,9M$, BELT se penche sur l’enjeu de la main-d’œuvre. On travaille en amont sur le dossier afin d’être prêt.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":15,"text":"

«La nation atikamekw représente un bassin de main-d’œuvre extrêmement important. L’enjeu par rapport à ça, c’est vraiment la synchronisation parfaite entre la formation et le début des travaux de construction», note Dany Chilton.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":16,"text":"

La Chambre de commerce et d’industrie du Haut Saint-Maurice (CCIHSM), pour sa part, refuse de prendre position dans le dossier pour le moment.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":17,"text":"

«Notre mission, c’est la santé économique de notre territoire et la croissance de notre ville. Ce que l’on s’engage à faire en janvier, c’est de rencontrer tous les acteurs impliqués dans le dossier pour se faire une tête dans tout ça […] On a un nouveau conseil d’administration et une nouvelle équipe. Je pense que ce serait sage de faire les bonnes démarches pour prendre une position officielle», a indiqué Béatrice Roy-Prince, directrice générale CCIHSM.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":18,"text":"

Des bonnes nouvelles pour le pont de la Rivière-au-lait?

Depuis plusieurs mois, les dirigeants de BELT affirment que pont de la Rivière-au-lait, qui donne accès à la route forestière 25, doit être optimisé. Il pourrait s’agit d’un lien névralgique au projet. On réclamait depuis longtemps que la circulation puisse se faire à double sens. Selon toutes vraisemblances, il pourrait y avoir du développement positif dans ce dossier.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":19,"text":"

«C’est la sécurité pour tous, il y a des travailleurs, des Atikamekws, des pourvoyeurs, des compagnies forestières qui passent sur ce pont-là», a conclu Dany Chilton.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"contents":[{"accessibility":"METERED","authors":[{"description":{},"email":"atremblay2@lenouvelliste.qc.ca","imageUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm-v2.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F1b8ef98e-cbd7-438c-9757-24065606ec78.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","location":"Trois-Rivières","name":"Audrey Tremblay","source":"Le Nouvelliste","twitter":""}],"channel":"Actualités","chapters":[{"position":0,"text":{"fr":"

«Je veux continuer de contribuer ici à La Tuque. À mon avis, la position était vraiment la meilleure que je pouvais occuper pour être capable de contribuer au niveau de la communauté», a lancé d’entrée de jeu Pierre Pacarar.

"},"type":"paragraph"},{"position":1,"text":{"fr":"

«Je pense que je m’inscris vraiment bien dans les valeurs qui sont mises de l’avant par le conseil. C’est le respect des gens […] On travaille tous pour le bien de la communauté, on est une grande famille, c’est avec ce genre de valeur-là que je vais continuer à travailler», ajoute-t-il.

"},"type":"paragraph"},{"position":2,"text":{"fr":"

Pierre Pacarar a dirigé l’usine de pâtes et papier de La Tuque pendant plus de 15 ans à titre de directeur général. Il avait d’ailleurs soulevé de grandes inquiétudes et s’était opposé dans les dernières années au projet de bioraffinerie alimentée par les résidus forestiers de BELT. Il maintient sa position.

"},"type":"paragraph"},{"position":3,"text":{"fr":"

«Ce projet-là, à mon avis, et j’ai été très clair à ce sujet-là, sous sa forme actuelle est un mauvais projet pour la communauté, et ce, bien au-delà de l’usine de La Tuque. Mon opposition était celle d’un Latuquois qui voit l’ensemble du réseau économique industriel de La Tuque au niveau forestier. Étant donné que c’est le cœur de l’économie de la Haute-Mauricie, j’étais convaincu que c’était un mauvais projet et je le demeure», indique-t-il.

"},"type":"paragraph"},{"position":4,"text":{"fr":"

«J’aurais aimé que le projet reste dans sa forme initiale qui était un projet en symbiose entre les forestiers et l’usine, mais le projet est devenu un projet grandiose qui, malheureusement, est inapplicable en Haute-Mauricie. Alors, oui, mon opposition va demeurer la même», ajoute M. Pacarar.

"},"type":"paragraph"},{"position":5,"text":{"fr":"

Ce dernier a avoué être particulièrement interpellé par les dossiers à saveur économique. Les défis seront grands à l’heure où l’inflation frappe fort dans les villes, mais aussi avec l’implantation du bac brun avant 2024.

"},"type":"paragraph"},{"position":6,"text":{"fr":"

«Ça va faire partie des défis. Ce sont des défis qu’on vit comme citoyen et qu’on vit aussi comme Ville. C’est un défi intéressant», note-t-il.

"},"type":"paragraph"},{"position":7,"text":{"fr":"

Pierre Pacarar est ingénieur de formation et détenteur d’un MBA. Originaire de l’Outaouais, il habite La Tuque avec sa famille depuis 2001.

"},"type":"paragraph"},{"position":8,"text":{"fr":"

La Ville mise sur son expertise dans l’industrie forestière, en gestion de ressources humaines, administratives et de projets, de même qu’en ingénierie.

"},"type":"paragraph"},{"position":9,"text":{"fr":"

Son arrivée en poste permettra au greffier et directeur général adjoint, Jean-Sébastien Poirier, de retrouver ses fonctions, lui qui assure l’intérim depuis 18 mois. Ce dernier ne souhaitait pas occuper ce poste à long terme.

"},"type":"paragraph"},{"position":10,"text":{"fr":"

«On veut faire une transition humaine, une transition intelligente qui va permettre d’allier nos forces. Avec mon expérience du privé, de la gestion et, évidemment, l’expérience de Jean-Sébastien au niveau du fonctionnement de la Ville, je pense qu’on peut faire en sorte que deux plus deux égale huit au lieu de quatre. C’est vraiment ce que je souhaite», image M. Pacarar.

"},"type":"paragraph"},{"position":11,"text":{"fr":"

Jean-Sébastien Poirier s’est aussi expliqué sur son choix lors de l’assemblée publique. Il estime que «quand se présente une candidature comme celle de Pierre Pacarar, il faut faire des choix».

"},"type":"paragraph"},{"position":12,"text":{"fr":"

«Ce choix-là a été facile. […] L’organisation municipale se doit d’avoir un individu comme Pierre pour l’amener à un autre niveau», a-t-il indiqué.

"},"type":"paragraph"},{"position":13,"text":{"fr":"

Le contrat de M. Pacarar aura une durée de 30 mois. Il ne voulait pas que la Ville «s’engage trop longtemps inutilement».

"},"type":"paragraph"},{"position":14,"text":{"fr":"

«Il faut un équilibre. Je suis au service de la Ville et non le contraire. Trente mois ça semblait bien. On va se retrouver en été à six mois de la fin du mandat des gens élus ici. Ça va nous donner l’opportunité de voir est-ce qu’on veut que je poursuive et est-ce que je veux poursuivre», indique M. Pacarar.

"},"type":"paragraph"},{"position":15,"text":{"fr":"

Le nouveau directeur général est très impliqué dans la communauté et compte bien le demeurer. Il conservera son titre de président de Fondation de la santé du Haut Saint-Maurice, il poursuivra aussi ses implications au sein de l’Harmonie, du stage band de La Tuque et d’être entraîneur bénévole au ski alpin.

"},"type":"paragraph"},{"position":16,"text":{"fr":"

Pour la Ville, il s’agit d’un grand coup. Le maire Luc Martel avoue même que son organisation a «joué les chasseurs de têtes» et qu’elle a négocié pendant quelques mois pour arriver à une entente avec son nouveau directeur général.

"},"type":"paragraph"},{"position":17,"text":{"fr":"

«Il y a de la politique dans ce gars-là! Il a toujours eu la petite étincelle. C’est un défi, mais ce n’est pas du privé. On lui a dit! Il va devoir faire comme nous et ronger son frein de temps en temps», a commenté le maire de La Tuque, Luc Martel.

"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2022-12-21T03:19:15.842Z","externalIds":{"newscycle":"084735CC-F918-4F50-AF8E-1D2F5AF8FAF2"},"firstPublicationDate":"2022-12-21T03:24:00.382Z","free":false,"id":"35d2f387fdbee7332d0001bc74b56779","lead":"«C’est toute une prise pour la Ville et on est bien fier de ça. Pierre va amener une plus-value à l’organisation et une crédibilité de plus avec ses connaissances, son expérience et ses contacts. Il arrive aussi avec une nouvelle vision.» Le maire Luc Martel et les élus du conseil municipal ont annoncé officiellement la nomination de Pierre Pacarar à titre de directeur général pour la Ville. Il occupera ses fonctions au début de la prochaine année.","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2022-12-21T10:32:54.321Z","publications":[{"canonical":false,"organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"ma-region"},{"canonical":true,"editionKey":"site","organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"actualites"}],"slug":"2022/12/21/pierre-pacarar-nomme-directeur-general-de-la-ville-de-la-tuque-35d2f387fdbee7332d0001bc74b56779","tags":[],"templateName":"article1","title":"Pierre Pacarar nommé directeur général de la Ville de La Tuque","type":"article","url":"global/contents/35d2f387fdbee7332d0001bc74b56779.json","visual":{"caption":{"fr":"Pierre Pacarar est le nouveau directeur général de la Ville de La Tuque. Il est accompagné du maire Luc Martel."},"contentType":"image","credits":{"fr":"AUDREY TREMBLAY"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F7f64f3d5-b481-4e6f-9aac-9321cec6606e.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"color":null,"mainVisual":{"caption":"Pierre Pacarar est le nouveau directeur général de la Ville de La Tuque. Il est accompagné du maire Luc Martel.","contentType":"image","credits":"AUDREY TREMBLAY","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F7f64f3d5-b481-4e6f-9aac-9321cec6606e.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F7f64f3d5-b481-4e6f-9aac-9321cec6606e.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}},{"accessibility":"METERED","authors":[{"description":{},"email":"atremblay2@lenouvelliste.qc.ca","imageUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm-v2.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F1b8ef98e-cbd7-438c-9757-24065606ec78.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","location":"Trois-Rivières","name":"Audrey Tremblay","source":"Le Nouvelliste","twitter":""}],"channel":"Actualités","chapters":[{"position":0,"text":{"fr":"

«On peut parler d’un an de retard. Aujourd’hui, on fait énormément de travail et on met les bouchées doubles», assure le directeur général de BELT, Patrice Mangin.

"},"type":"paragraph"},{"position":1,"text":{"fr":"

Rappelons que le projet BELT consiste en l’implantation d’une bioraffinerie alimentée par les résidus forestiers qui pourrait produire annuellement plus de 250 millions de litres de carburant totalement renouvelable. Le projet pourrait permettre des réductions de GES de 575 000 tonnes par année, soit l’équivalent de retirer 150 000 véhicules de la route par an.

"},"type":"paragraph"},{"position":2,"text":{"fr":"

L’investissement en capital est estimé à plus d’un milliard de dollars. Cet ambitieux projet pourrait créer près de 500 emplois directs et indirects en Haute-Mauricie. Le chiffre pourrait frôler le millier lors de la période de construction.

"},"type":"paragraph"},{"position":3,"text":{"fr":"

Les dirigeants de BELT ont rappelé les différentes étapes qui ont été franchies jusqu’à maintenant et les étapes à venir.

"},"type":"paragraph"},{"position":4,"text":{"fr":"

La première phase du projet, qui incluait une douzaine d’études de faisabilité, a été complétée. Elle a notamment servi à confirmer la disponibilité de la biomasse et la maturité des technologies visées.

"},"type":"paragraph"},{"position":5,"text":{"fr":"

La phase deux, toujours en cours, consiste principalement à valider les deux lignes de procédés sélectionnés qui sont prometteuses et «éliminer le risque technologique».

"},"type":"paragraph"},{"position":6,"text":{"fr":"

«On ne peut pas se permettre avec un projet d’un milliard de dollars d’avoir un risque technologique qui serait non réglé», insiste Patrice Mangin.

"},"type":"paragraph"},{"position":7,"text":{"fr":"

Il y a aussi dans la phase deux l’initiation de la formation pour la collecte de biomasse, le BAPE, le choix final du site, etc.

"},"type":"paragraph"},{"position":8,"text":{"fr":"

On a d’ailleurs confirmé que La Tuque était toujours le lieu privilégié par NESTE, le principal investisseur intéressé. Les commodités disponibles, les chemins forestiers, la voie ferroviaire, l’emplacement stratégique et la disponibilité de la ressource sont des atouts pour la Haute-Mauricie qui ont séduit l’investisseur selon BELT.

"},"type":"paragraph"},{"position":9,"text":{"fr":"

«Il a fallu convaincre l’investisseur. On est débarqué chez eux et on leur a prouvé que c’est ici que ça se passe», a souligné Patrice Bergeron, président de BELT.

"},"type":"paragraph"},{"caption":{},"contentType":"image","credits":{},"position":10,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F6c1b48e4-f863-4bf9-aede-803dc2fb6c53.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},{"position":11,"text":{"fr":"

Si jamais cet investisseur se désistait, on affirme qu’un plan B a déjà été sécurisé.

"},"type":"paragraph"},{"position":12,"text":{"fr":"

La phase trois sera sous la responsabilité de l’investisseur, il s’agit principalement des travaux d’ingénierie, de la préparation du site, de l’embauche et de la formation, de la construction et de la mise en opération de l’usine.

"},"type":"paragraph"},{"position":13,"text":{"fr":"

Pont de la Rivière-au-lait

Il a également été question du pont de la Rivière-au-lait qui donne accès à la route forestière 25, et au site ciblé pour l’implantation de cette bioraffinerie.

"},"type":"paragraph"},{"position":14,"text":{"fr":"

«Quel que soit le site, le pont, il faudra l’optimiser», insiste Patrice Mangin.

"},"type":"paragraph"},{"position":15,"text":{"fr":"

Pour les promoteurs, il s’agit d’un lien névralgique au projet et il faut absolument que la circulation puisse se faire à double sens. L’actuel pont à une seule voie ne serait pas en mesure de répondre à l’augmentation considérable de la circulation que pourrait entraîner le projet de BELT. On exige un pont plus fiable et plus sécuritaire. Le Conseil de la nation Atikamekw, aussi partenaire dans le projet, a insisté sur les travaux d’amélioration qui doivent être faits sur ce pont.

"},"type":"paragraph"},{"position":16,"text":{"fr":"

«Les Atikamekw ont pris les devants dans cet aspect-là du projet. Nous voulons améliorer la sécurité des utilisateurs», a fait savoir le grand chef Constant Awashish.

"},"type":"paragraph"},{"position":17,"text":{"fr":"

Appel à l’unité

Le directeur général de BELT a profité de son allocution virtuelle devant la CCIHSM pour lancer un appel aux dirigeants de l’usine Westrock.

"},"type":"paragraph"},{"position":18,"text":{"fr":"

«Notre vision, c’est l’utilisation de la biomasse en fin de vie, quand il n’y a plus rien à faire avec. Je pense que nous devons travailler ensemble avec Westrock auprès du gouvernement pour que ce soit ainsi. Westrock n’a pas à craindre le projet BELT. On ne veut pas déshabiller Paul pour habiller Pierre. […] Il faut travailler ensemble pour que les deux entreprises puissent se développer d’une manière très sereine. C’est important pour BELT, et pour Westrock, d’avoir une vision commune et de travailler ensemble», explique M. Mangin.

"},"type":"paragraph"},{"position":19,"text":{"fr":"

Les dirigeants de BELT ont d’ailleurs souligné avoir mis certains efforts pour avoir des discussions, mais qu’ils sont restés sans nouvelle.

"},"type":"paragraph"},{"position":20,"text":{"fr":"

«Je ne désespère pas et c’est un objectif de continuer. Nous ne sommes pas des ennemis, nous sommes des partenaires», martèle-t-il.

"},"type":"paragraph"},{"position":21,"text":{"fr":"

Rappelons que le directeur de l’usine Westrock, Pierre Pacarar, a soulevé de grandes inquiétudes par rapport à l’implantation d’une bioraffinerie. ( lien : https://www.lenouvelliste.ca/actualites/lusine-westrock-menacee-par-le-projet-belt-a-la-tuque-84b668d4c38119cf658d5c0fb1655a7d )

"},"type":"paragraph"},{"position":22,"text":{"fr":"

Patrice Mangin a aussi fait savoir que la Ville de La Tuque avait manifesté son appui au projet après une rencontre qui a permis de clarifier certains points du projet.

"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2021-05-19T23:42:02.711Z","externalIds":{"newscycle":"A0ADECD4-2EE0-4157-B311-9A476FCCADF9"},"firstPublicationDate":"2021-05-20T07:00:00.000Z","free":false,"id":"87e1478d4e35c1d61e92c0402d41c639","lead":"«Le projet Bioénergie La Tuque (BELT) progresse et il se concrétise», c’est le message qu’ont voulu passer les dirigeants du projet devant les membres de la Chambre de commerce et d’industrie du Haut Saint-Maurice, mercredi. Bien que le projet accuse un peu de retard, la phase de construction pourrait être lancée dès 2023 pour finalement se concrétiser en 2025.","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2021-05-20T09:00:19.391Z","publications":[{"canonical":false,"organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"ma-region"},{"canonical":true,"editionKey":"site","organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"affaires"}],"slug":"2021/05/20/bioenergie-la-tuque-on-met-les-bouchees-doubles-87e1478d4e35c1d61e92c0402d41c639","tags":[],"templateName":"article3","title":"Bioénergie La Tuque: «On met les bouchées doubles»","type":"article","url":"global/contents/87e1478d4e35c1d61e92c0402d41c639.json","visual":{"caption":{"fr":"Patrice Mangin est le directeur général de BELT."},"contentType":"image","credits":{"fr":"ARCHIVES, AUDREY TREMBLAY"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F8d6e5d83-77b1-4ff6-888d-fc6903e805de.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"color":null,"mainVisual":{"caption":"Patrice Mangin est le directeur général de BELT.","contentType":"image","credits":"ARCHIVES, AUDREY TREMBLAY","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F8d6e5d83-77b1-4ff6-888d-fc6903e805de.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F8d6e5d83-77b1-4ff6-888d-fc6903e805de.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}}],"position":20,"type":"content_block","photos":[]}],"creationDate":"2022-12-23T00:21:15.344Z","externalIds":{"newscycle":"B2549223-CEEC-4FAA-8A75-6D7C83F6B2EF"},"firstPublicationDate":"2022-12-23T08:00:00.000Z","free":false,"id":"5fa026382f3ed23f740740ffc7f147c7","lead":"Les propos du nouveau directeur général de la Ville de La Tuque, Pierre Pacarar, ont fait sursauter les dirigeants de Bioénergie La Tuque (BELT) qui mène l’important projet de bioraffinerie alimenté par des résidus forestiers.","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2022-12-23T09:01:31.275Z","publications":[{"canonical":true,"editionKey":"site","organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"affaires"},{"canonical":false,"organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"ma-region"}],"slug":"2022/12/23/bioraffinerie-le-projet-va-avoir-lieu-5fa026382f3ed23f740740ffc7f147c7","tags":["Business, Finance, & Economics","Social Issues"],"templateName":"article1","title":"Bioraffinerie: «Le projet va avoir lieu»","type":"article","url":"global/contents/5fa026382f3ed23f740740ffc7f147c7.json","visual":{"caption":{},"contentType":"image","credits":{"fr":"BELT"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fb68421d5-e6c8-4347-8a71-facff8ff7d33.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"adTargetSectionKeys":["affaires"],"canonicalSiteCompositeKey":"lenouvelliste/site","color":"#779064","displayedSection":{"color":"#779064","id":"195","key":"affaires","name":"Affaires","position":3,"sectionId":"195","slug":"affaires","url":"site/sections/affaires.json","isRoot":true},"mainVisual":{"contentType":"image","credits":"BELT","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fb68421d5-e6c8-4347-8a71-facff8ff7d33.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"section":{"color":"#779064","id":"195","key":"affaires","name":"Affaires","position":3,"sectionId":"195","slug":"affaires","url":"site/sections/affaires.json","isRoot":true},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fb68421d5-e6c8-4347-8a71-facff8ff7d33.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}}