L’insécurité alimentaire est un «symptôme de pauvreté» et de plus en plus de Québécois «coupent» sur l’épicerie pour boucler les fins de mois. (JOSÉE LAFORTUNE/JOSÉE LAFORTUNE)
CHRONIQUE / Bref rappel: il y a un mois, les Banques alimentaires du Québec sonnaient l’alarme en dévoilant de froides statistiques sur le nombre grandissant d’adultes qui n’ont plus les moyens de faire leur épicerie.