L’un des fondateurs de Waste Robotics, Éric Camirand. (Stéphane Lessard, le Nouvelliste/Stéphane Lessard, le Nouvelliste)
«On a une vingtaine de robots déployés. On trie de la construction et de la démolition aux États-Unis, des sacs en Europe et aux États-Unis, du plastique en France et à Montréal, du styrofoam dans les Laurentides, des contenants de Tetra Pak en Australie.»