{"accessibility":"METERED","authors":[{"description":{},"email":"mlafreniere@lenouvelliste.qc.ca","imageUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm-v2.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F13538dd6-a62d-4990-ba12-c158bd3db523.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","location":"Louiseville","name":"Martin Lafrenière","source":"Le Nouvelliste"}],"channel":"Actualités","chapters":[{"position":0,"text":"

«Kruger n’a aucune entente pour contrevenir aux normes. Au contraire, on respecte toutes les normes», raconte Jean Majeau, vice-président principal des affaires corporatives et des communications de Kruger, dont les propos viennent tempérer la teneur du discours ambiant concernant des attestations d’assainissement accordées à des entreprises du Québec. Selon un reportage d’Ici Radio-Canada, 89 entreprises, dont Kruger pour ses deux usines de Trois-Rivières, ont signé des ententes avec le gouvernement du Québec leur permettant de déroger à la législation en matière de pollution.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":1,"text":"

«Il n’y a aucune dérogation. Les attestations d’assainissement, c’est comme un permis d’opérer. Ça fixe des normes à respecter et c’est positif. Ceux qui détiennent une attestation, ça leur dit dans quel environnement réglementaire ils peuvent opérer. Ils doivent se conformer à cet environnement réglementaire et c’est ce qu’on fait chez Kruger. Les gens de Trois-Rivières peuvent être en toute confiance. Chez Kruger, il n’y a pas d’exemption. On suit à la lettre 100% des normes», soutient M. Majeau, qui croit même que les cas de dérogation seraient peu nombreux parmi les 89 entreprises ayant une attestation d’assainissement.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":2,"text":"

Le discours est comparable chez ABI, selon la conseillère en communications, Irina Gato.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":3,"text":"

«Nous souhaitons préciser que l’Aluminerie de Bécancour se conforme aux plus hauts standards en matière d’environnement, de santé et de sécurité en vigueur et son attestation d’assainissement ne permet en aucun cas de déroger aux normes québécoises», écrit Mme Gato dans une courte déclaration.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"caption":"L’Aluminerie de Bécancour.","contentType":"image","credits":"Archives","position":4,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Feb0d6a7e-092e-4077-a54a-c3858198222a.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},{"position":5,"text":"

Ces informations s’ajoutent au dépassement des limites d’arsenic émis par la fonderie Horne de Rouyn-Noranda. Lauréanne Daneau, directrice d’Environnement Mauricie, estime que le moment est plutôt bien choisi pour se questionner sur l’état de la situation.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":6,"text":"

«On a très peu de données sur la qualité de l’air en général. On apprend que plusieurs industries peuvent émettre des particules fines dans l’air sans plafond, mais quelle est la composition?», s’interroge-t-elle.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":7,"text":"

Mme Daneau n’était pas au courant de l’existence de ces ententes. Elle se dit peu surprise de la situation, rappelant que le ministère de l’Environnement a des ressources limitées. Selon elle, la prochaine campagne électorale doit être le moment pour discuter de cet enjeu de santé publique qu’est la qualité de l’air, un enjeu dont l’importance a été soulignée à grands traits durant la pandémie de COVID-19.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":8,"text":"

«On parle de la qualité de l’air en ciblant le secteur industriel. Mais selon nos données, le secteur industriel est responsable de 39% des contaminants atmosphériques. Le chauffage au bois, c’est 44% de la pollution atmosphérique. Dans le contexte de la campagne électorale, c’est le temps de prendre des engagements, de se doter de ressources nécessaires pour mieux documenter l’état actuel et cibler les bonnes interventions pour s’assurer que la population est en santé. Ça se peut que les dépassements des industries aient un gros impact sur la santé publique. On a besoin de données pour le prouver. Est-ce que le gouvernement fait preuve de complaisance? Jusqu’où on va dans le paradigme de développement économique? On critique le ministère de l’Environnement d’autoriser des dépassements de normes, mais s’il n’a pas les ressources pour faire un bon encadrement, il fait ce qu’il peut.»

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":9,"text":"

En plus d’Aluminerie de Bécancour, Silicium Québec figure sur la liste d’entreprises dévoilée par le diffuseur public. La mairesse de Bécancour, Lucie Allard, se dit préoccupée par la protection de la santé de sa population et par qualité de l’environnement, mais rappelle que les normes environnementales sont fixées par le gouvernement du Québec.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":10,"text":"

«C’est le ministère de l’Environnement qui a la responsabilité du respect des règles. Si la situation était préoccupante, l’Environnement en aviserait assurément la Ville qui aviserait la population. Nous n’avons reçu aucun avis à cet effet.»

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":11,"text":"

Mme Allard estime que la première responsabilité en la matière relève de l’entreprise qui doit respecter les normes québécoises, celles-ci étant «parmi les plus sévères au monde».

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":12,"text":"

«La grande responsabilité est aussi au ministère de l’Environnement. Le ministère a le pouvoir d’intervenir auprès des industries. Il peut aller jusqu’à l’arrêt de production et on n’est pas là», ajoute celle qui souligne que Bécancour est dotée d’un système d’alerte très performant en raison notamment de la présence sur son territoire d’un parc industriel et portuaire occupé par de grandes entreprises.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":13,"text":"

À l’instar de sa collègue de Bécancour, Yvon Deshaies ignorait l’existence de programme d’ententes entre des entreprises et le gouvernement du Québec. Selon le reportage de Radio-Canada, Matériaux spécialisés Louiseville fait partie de la liste des entreprises signataires de cette entente au même titre que l’usine WestRock de La Tuque. Le maire de Louiseville indique n’avoir jamais entendu parler de problèmes de santé découlant des activités de cette entreprise qui fabrique des produits conçus pour l’insonorisation, les toitures commerciales et l’isolation thermique.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":14,"text":"

«Si c’est toxique, on va s’asseoir et on va voir ce qu’on peut faire. Mais ce n’est pas le cas. L’usine est là depuis 60 ans, elle offre de bons salaires. La compagnie travaille fort pour diminuer la pollution.»

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":15,"text":"

Le maire Deshaies se dit d’accord avec l’importance à accorder à l’environnement, mais un équilibre est nécessaire.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":16,"text":"

«Un moment donné, il faut arrêter! Il ne faut pas exagérer avec les normes environnementales. Je respecte les verts, mais on va tout enlever? On ne veut plus de motoneiges, plus de Grand Prix, plus de gros bateaux? On va fermer le port de Montréal? Si le gouvernement veut fermer Matériaux spécialisés, là, je vais me lever parce que c’est bon pour l’économie. Il devra payer les employés jusqu’à leur pension et les taxes municipales à la Ville. Si le gouvernement veut gérer la Ville, il la gérera. Je lui donnerai les clés.»

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":17,"text":"

La réponse de la Ville de Trois-Rivières se limite à une brève déclaration émanant du cabinet du maire. Cette déclaration indique que «nos équipes ville et le ministère de l’Environnement collaborent ouvertement dans différents dossiers. Nous avons un conseiller, Dany Carpentier, qui s’implique concernant ces sujets.»

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":18,"text":"

En réaction à ce reportage, le ministre Pierre Fitzgibbon a mis en garde tous ceux qui seraient tentés de comparer le cas de la fonderie Horne aux autres entreprises du Québec qui polluent au-delà des normes environnementales avec l’accord du gouvernement, rapporte La Presse.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":19,"text":"

«Il faut les contextualiser. Je n’ai pas toute la liste, mais il faut faire attention. Personne va mourir. Il faut faire attention, il ne faut pas généraliser. Horne, c’est un enjeu, il n’y a aucun doute, mais je n’appliquerais pas Horne aux [autres entreprises]. Les normes changent. Il faut donner le temps aux entreprises de se conformer. Les pâtes et papiers, je viens de là. Si on change les normes, il faut laisser le temps passer. Règle générale, les sociétés veulent respecter les règles, mais ça prend du temps pour le faire. Ça prend des investissements , a dit mercredi le ministre de l’Économie.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"contents":[{"accessibility":"METERED","authors":[{"description":{},"name":"La Presse Canadienne"}],"channel":"Environnement","chapters":[{"position":0,"text":{"fr":"

En point de presse, mercredi, le ministre a d'abord promis de publier un registre contenant l'ensemble des 89 entreprises liées par une «attestation d'assainissement», soit une entente permettant de polluer au-delà d'une norme prescrite, mais à l'intérieur d'un cadre de conditions précises.

Le ministre a souligné que la fameuse liste de pollueurs a été remise sur demande à plusieurs médias au cours des dernières semaines, mais qu'elle contient des informations périmées. M. Charette a reconnu que certaines des entreprises citées dans la liste ont depuis changé de vocation ou même cessé leurs activités.

Dans un objectif de transparence, le ministère de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques va mettre en ligne un registre contenant l'identité des entreprises ainsi que des détails sur la nature des permissions dont elles bénéficient et l'échéance de celles-ci.

Par ailleurs, Benoit Charette a déclaré que la population locale pourra se prononcer chaque fois qu'une attestation viendra à échéance.

«Je vous confirme que dorénavant, chacune de ces attestations à renouveler fera l'objet d'une consultation en bonne et due forme pour s'assurer que la population puisse dire son mot», a-t-il déclaré.

Dans le cas de la Fonderie Horne, justement, l'attestation en question vient à échéance à la fin de l'année 2022. La population de Rouyn-Noranda sera donc appelée à se prononcer avant que Québec n'accorde le renouvellement, a fait savoir le ministre.

Selon M. Charette, les entreprises qui profitent d'exemptions y ont droit parce qu'elles étaient déjà en activité avant l'adoption de la loi leur imposant des normes environnementales. Elles doivent toutefois tendre vers l'atteinte de la conformité.

"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2022-08-17T21:42:55.906Z","externalIds":{},"firstPublicationDate":"2022-08-17T21:44:11.532Z","free":false,"id":"10bfcb18e35c8b2c3050bd0cb732aae1","lead":"Dans la foulée des révélations concernant les exemptions permettant à la Fonderie Horne de polluer son environnement bien au-delà des normes, à Rouyn-Noranda, le ministre de l'Environnement, Benoit Charette, s'engage à faire preuve de plus de transparence dans l'ensemble des 89 cas d'entreprises profitant de ce type de permission.","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2022-08-17T21:42:55.906Z","publications":[{"canonical":false,"organizationKey":"ledroit","sectionKey":"actualites"},{"canonical":false,"organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"actualites"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lavoixdelest","sectionKey":"actualites"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"latribune","sectionKey":"actualites"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lequotidien","sectionKey":"actualites"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"actualites"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"ledroit","sectionKey":"actualites"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lesoleil","sectionKey":"actualite"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lesoleil","sectionKey":"actualite/environnement"}],"slug":"2022/08/17/charette-promet-plus-de-transparence-dans-les-ententes-conclues-avec-des-pollueurs-10bfcb18e35c8b2c3050bd0cb732aae1","tags":[],"templateName":"article1","title":"Charette promet plus de transparence dans les ententes conclues avec des pollueurs","type":"article","url":"global/contents/10bfcb18e35c8b2c3050bd0cb732aae1.json","visual":{"caption":{"fr":"Le ministre de l'Environnement, Benoit Charette"},"contentType":"image","credits":{"fr":"Archives PC, Ryan Remiorz"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fc9243fee-3b4c-4638-b4c6-75de46d14cb6.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"color":null,"mainVisual":{"caption":"Le ministre de l'Environnement, Benoit Charette","contentType":"image","credits":"Archives PC, Ryan Remiorz","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fc9243fee-3b4c-4638-b4c6-75de46d14cb6.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fc9243fee-3b4c-4638-b4c6-75de46d14cb6.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}},{"accessibility":"METERED","authors":[{"coverUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F015a338e-ccb9-4eb2-8f3b-79f54472b419.png&width=1024&stripmeta=true","description":{},"email":"simon.roberge@latribune.qc.ca","imageUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F2adee08c-bef2-4afe-9333-4fdbc06fe4a2.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","location":"","name":"Simon Roberge","source":"La Tribune","twitter":"simon_roberge"}],"channel":"Actualités","chapters":[{"position":0,"text":{"fr":"

En point de presse, mercredi, le ministre a d’abord promis de publier un registre contenant l’ensemble des 89 entreprises liées par une « attestation d’assainissement », soit, selon ce qui a été véhiculé, une entente permettant de polluer au-delà d’une norme prescrite, mais à l’intérieur d’un cadre de conditions précises.

Or, le Conseil de l’industrie forestière du Québec souligne que cette définition est carrément fausse.

« Contrairement à ce que le ministre Charette a affirmé cet après-midi, une autorisation ministérielle pour l’exploitation d’un établissement industriel n’est pas, par défaut, un permis qui permet aux entreprises de dépasser les normes québécoises en matière de pollution ni un droit acquis à polluer comme il a été faussement véhiculé. »

Selon le CIFQ, une attestation d’assainissement est un outil légal qui encadre les activités d’établissements industriels appartenant à des catégories d’activités déterminées par règlement du gouvernement, tels les établissements du secteur des pâtes et papiers.

Dans un objectif de transparence, il a été annoncé que le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques allait mettre en ligne un registre contenant l’identité des entreprises ainsi que des détails sur la nature des permissions dont elles bénéficient et l’échéance de celles-ci.

Le ministre a de plus laissé entendre que l’ensemble des 89 noms sur cette liste dérogeait à une ou plusieurs normes environnementales.

"},"type":"paragraph"},{"caption":{"fr":"Le ministre de l’Environnement, Benoit Charette."},"contentType":"image","credits":{"fr":"Archives Le Soleil, Érick Labbé"},"position":1,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fdc9de7ea-524f-4bc0-8c97-185fa87dddc1.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},{"position":2,"text":{"fr":"

« On n’est pas dans des situations qui sont semblables d’un cas à l’autre, a-t-il mentionné. Il y a des écarts avec la norme qui sont très variables. Le but c’est de se rapprocher le plus rapidement possible de la norme. Mais dans tous les cas, la fonderie Horne est une exception. On n’a pas de cas équivalents dans ces [88] autres dossiers-là. On est dans des mondes différents. »

Selon le CIFQ, il est toutefois normal de voir plusieurs entreprises du secteur des pâtes et papiers sur cette fameuse liste.

« Le secteur des pâtes et papiers ne détient aucune dérogation aux normes réglementaires québécoises et que d’être détentrice d’une attestation d’assainissement n’est pas un choix, mais une obligation légale. À ce titre, il est absolument normal que les usines québécoises de pâtes et papiers figurent sur la liste des entreprises détentrices de ladite attestation d’assainissement. L’attestation d’assainissement ne permet pas à son détenteur de déroger sans encadrement aux normes en vigueur établies par les règlements édictés par le Gouvernement du Québec. »

Le ministre a souligné que la liste de pollueurs a été remise sur demande à plusieurs médias au cours des dernières semaines, mais qu’elle contient des informations périmées. M. Charette a reconnu que certaines des entreprises citées dans la liste ont depuis changé de vocation ou même cessé leurs activités.

Selon M. Charette, les entreprises qui profitent d’exemptions y ont droit parce qu’elles étaient déjà en activité avant l’adoption de la loi leur imposant des normes environnementales. Elles doivent toutefois tendre vers l’atteinte de la conformité.

- avec La Presse canadienne

"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2022-08-18T02:02:58.201Z","externalIds":{},"firstPublicationDate":"2022-08-18T07:00:00.000Z","free":false,"id":"551164133087b17661aad34151aada2d","lead":"Le Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ) a fait une sortie en règle mercredi soir contre le ministre de l’Environnement, Benoit Charette, qui s’est engagé plus tôt en journée à faire preuve de plus de transparence dans l’ensemble des 89 cas d’entreprises profitant d’une attestation d’assainissement.","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2022-08-18T08:30:01.767Z","publications":[{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"latribune","sectionKey":"affaires"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"latribune","sectionKey":"actualites"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lavoixdelest","sectionKey":"actualites/le-fil-groupe-capitales-medias"},{"canonical":false,"organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"actualites"},{"canonical":true,"organizationKey":"latribune","sectionKey":"ma-region"}],"slug":"2022/08/18/liste-de-pollueurs--le-cifq-fustige-le-ministre-charette-551164133087b17661aad34151aada2d","tags":[],"templateName":"article1","title":"Liste de pollueurs : le CIFQ fustige le ministre Charette","type":"article","url":"global/contents/551164133087b17661aad34151aada2d.json","visual":{"caption":{"fr":"Selon le CIFQ, il est normal de voir plusieurs entreprises du secteur des pâtes et papiers sur cette fameuse liste"},"contentType":"image","credits":{"fr":"Archives La Tribune, Jessica Garneau"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fab4b6088-5d39-4df0-a6ec-fd41679ea9ca.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"color":null,"mainVisual":{"caption":"Selon le CIFQ, il est normal de voir plusieurs entreprises du secteur des pâtes et papiers sur cette fameuse liste","contentType":"image","credits":"Archives La Tribune, Jessica Garneau","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fab4b6088-5d39-4df0-a6ec-fd41679ea9ca.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fab4b6088-5d39-4df0-a6ec-fd41679ea9ca.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}}],"position":20,"type":"content_block","photos":[]}],"creationDate":"2022-08-17T21:47:11.750Z","externalIds":{"newscycle":"A811B891-A5AD-40C5-9336-09C6929AA4DB"},"firstPublicationDate":"2022-08-17T21:50:22.206Z","free":false,"id":"75f72d4439b01ee399264bd230350d70","lead":"Kruger et Aluminerie de Bécancour nient toute contravention aux normes environnementales établies par les instances gouvernementales, contrairement à ce qui circule dans différents médias.","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2022-08-18T10:04:11.983Z","publications":[{"canonical":false,"organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"ma-region"},{"canonical":true,"editionKey":"site","organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"actualites"}],"slug":"2022/08/17/aucune-contravention-aux-normes-environnementales-plaident-kruger-et-abi-75f72d4439b01ee399264bd230350d70","tags":["Business, Finance, & Economics","Social Issues"],"templateName":"article1","title":"Aucune contravention aux normes environnementales, plaident Kruger et ABI","type":"article","url":"global/contents/75f72d4439b01ee399264bd230350d70.json","visual":{"caption":{"fr":"L’usine Kruger de Trois-Rivières."},"contentType":"image","credits":{"fr":"STÉPHANE LESSARD"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fa5eef0f0-8e7f-4f07-9403-1164e0664530.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"adTargetSectionKeys":["actualites"],"canonicalSiteCompositeKey":"lenouvelliste/site","color":"#ff0000","displayedSection":{"color":"#ff0000","id":"178","key":"actualites","name":"Actualités","position":0,"sectionId":"178","slug":"actualites","url":"site/sections/actualites.json","isRoot":true},"mainVisual":{"caption":"L’usine Kruger de Trois-Rivières.","contentType":"image","credits":"STÉPHANE LESSARD","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fa5eef0f0-8e7f-4f07-9403-1164e0664530.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"section":{"color":"#ff0000","id":"178","key":"actualites","name":"Actualités","position":0,"sectionId":"178","slug":"actualites","url":"site/sections/actualites.json","isRoot":true},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fa5eef0f0-8e7f-4f07-9403-1164e0664530.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}}