Même s’il y avait beaucoup de réticences, la participation régionale des Premières Nations à la visite du pape a été importante. (LARS HAGBERG / AFP/LARS HAGBERG / AFP)
CHRONIQUE / Il aura fallu, pour beaucoup, attendre jusqu’à jeudi, en début de soirée, pour que dans son homélie, à l’archevêché de Québec, le pape François reconnaisse, enfin, que des abus à caractère sexuel ont été commis contre des mineurs et des personnes vulnérables… par des représentants de l’Église catholique.