Chronique|

Être traumatisé par la guerre sur les réseaux

Un bâtiment de Kharkiv, en Ukraine, qui a subi d'importants dommages causés par les attaques russes.

CHRONIQUE / Comme on peut faire défiler sans fin des vidéos de chiens sur TikTok, Twitter ou Instagram, il est facile de tomber dans un puits sans fond de vidéos de civils en panique, de soldats sur le front ou de propagande sans filtre ni nuance sur la guerre en Ukraine. La consommation excessive et répétée de ce type de contenu peut avoir des effets bien réels sur notre santé mentale et affecter notre quotidien, même à plusieurs milliers de kilomètres du front.