En voyant des loups sur le territoire, l’équipe de conservation a un indice de l’état de l’écosystème forestier qui représente 93 % de la superficie du parc. (Sylvain Mayer, Archives Le Nouvelliste/Sylvain Mayer, Archives Le Nouvelliste)
CHRONIQUE / Mes yeux et ma tête trouvent pénible le marathon hebdomadaire de visioconférences qu’impose le télétravail. En quête d’oxygène, je me réjouis d’avoir accès facilement au Parc national de la Mauricie, qui offre de superbes sentiers. Un baume temporaire pour ma santé physique et mentale. N’étant pas – toujours – utilitariste, je trouve bien que le parc soit là pour moi, mais qui s’occupe de sa santé à lui? Et comment fait-on pour vérifier s’il se porte bien?