CHRONIQUE / Il m’arrive encore d’hésiter entre l’achat d’un article à 10 $ produit en Chine que je vais trouver facilement au centre commercial ou consacrer du temps à chercher son équivalent fait localement avec des matériaux durables qui va coûter beaucoup plus cher. Je déteste être coincée dans ce dilemme et rêve d’un monde où les achats responsables deviennent plus abordables et plus accessibles. Il faudrait un coup de barre donné par de grands acheteurs capables d’influencer radicalement le jeu de l’offre et de la demande. Par exemple, l’État qui est le principal acheteur au Québec.