{"accessibility":"METERED","authors":[{"description":{},"email":"m.maxgessler@lenouvelliste.qc.ca","imageUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F31508ba6-3d98-44aa-a340-61b168f58c02.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","location":"Trois-Rivières","name":"Matthieu Max-Gessler","source":"Le Nouvelliste"}],"channel":"Actualités","chapters":[{"position":0,"text":"

Le président et chef de la direction du Cirque, Daniel Lamarre, reconnaît d’emblée que cette décision ne sera pas facile à prendre.

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«Il va falloir se projeter sur ce qu’il sera possible de faire en juin et en juillet. Je suis conscient que ce sera extrêmement difficile et on va être très respectueux de la décision de la Corporation des événements. On sait qu’ils désirent autant que nous, sinon plus, présenter le spectacle, mais on a les mains liées par ce qu’on ne contrôle pas», explique-t-il.

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Outre les préoccupations concernant la santé du public et des artistes, il y a les préoccupations économiques qui vont peser dans la balance. Si les règles du jeu demeuraient les mêmes que celles établies l’an dernier, soit 250 personnes maximum pour les rassemblements extérieurs, le spectacle ne sera fort probablement pas présenté, prévient M. Lamarre.

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«Ce ne sera pas viable. On ne peut pas demander aux gens de l’Amphithéâtre de présenter notre spectacle et les amener vers une perte financière. C’est là où le respect entre nos deux groupes est très important», souligne-t-il.

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Enfin, il est hors de question pour le Cirque du Soleil de faire les choses à moitié, que ce soit en raison des restrictions sanitaires ou pour éviter des pertes financières à la Corporation. «Les Trifluviens ont des attentes très élevées sur la qualité du spectacle et la dernière chose que je voudrais, c’est les décevoir», affirme M. Lamarre.

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Ce dernier précise également que le concept du spectacle est prêt. Il ne resterait donc qu’à rassembler l’équipe de création et les artistes pour que Vive nos divas! puisse être présenté cet été.

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De nombreux scénarios envisagés à l’Amphithéâtre

Pour ce qui est de la programmation régulière de l’Amphithéâtre Cogeco, la Corporation des événements est toujours en train de travailler sur différentes possibilités pour l’été 2021.

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«On a plusieurs scénarios, qui vont du plan A au plan H. On suit avec attention les restrictions de la Santé publique et les décisions seront prises en harmonie avec ses annonces», explique Steve Dubé, directeur général de la Corporation.

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Ce dernier attend par ailleurs impatiemment le retour de Trois-Rivières en zone orange, ce qui lui donnerait davantage de marge de manœuvre. Il espère toutefois que la santé publique tienne compte du fait que la salle de l’Amphithéâtre se trouve en extérieur, ce qui diminue selon lui les risques de propagation de la COVID-19.

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«On souhaite que le nombre maximum de personnes qu’on peut accueillir soit traité en fonction de la capacité de la salle et pas un nombre fixe. Avec notre grande salle et la partie gazonnée de l’Amphithéâtre, ça nous permettrait d’aller au-delà de 250 personnes. On respecterait une distance de 1,5 m, comme c’est demandé en zone orange, et on appliquerait aussi un protocole pour gérer les entrées et les sorties, comme l’an dernier. On a beaucoup appris de l’an passé, notamment avec le spectacle de la Fête nationale», affirme M. Dubé.

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Ce dernier garde toutefois en tête la possibilité que des spectacles soient diffusés sur internet pour toucher un plus grand auditoire, si le nombre de personnes en présentiel est limité. Cette formule a permis de diffuser le spectacle de la Fête nationale en direct de l’Amphithéâtre. Un spectacle pour le Jour de l’an, avec l’artiste Éric Masson, a aussi été présenté de la même manière.

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M. Dubé indique être en discussion avec plusieurs agents d’artistes pour explorer l’avenue du virtuel.

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Festival western de Saint-Tite «On demeure quand même positifs»

Ayant lieu en septembre, le Festival western de Saint-Tite compte parmi les derniers festivals de chaque année. L’an dernier, la décision d’annuler l’événement pour le rendre virtuel a été prise assez rapidement, soit le 15 avril. Cette année, le directeur général du festival, Pascal Lafrenière, considère qu’il dispose de plus de marge de manœuvre.

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«La décision pourra être prise plus tard cette année. Ça nous prend huit à dix semaines pour se déployer en ville. Si l’événement est de moindre ampleur, ça demande moins de temps. Donc, on demeure quand même positifs, enthousiastes», explique-t-il.

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M. Lafrenière ne cache pas que son équipe et lui doivent tout de même travailler sur différents scénarios possibles, question de ne pas être pris par surprise.

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«Notre défi, c’est de tenter de prévoir de quoi aura l’air le festival si on accueille un nombre restreint de personnes. Pour la programmation, il faut aussi voir s’il y aura un déploiement en ligne ou pas. Mais dans tout ce qu’on fait, l’important est que ça se fasse dans le respect des règles sanitaires et de la santé des citoyens, des bénévoles et des employés», soutient-il.

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Bref, peu importe les conditions qu’il faudra respecter, le festival s’y adaptera, assure son directeur général.

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«On a l’expertise pour le faire. Dans l’événementiel, les gens sont habitués de se revirer de bord vite et on va le prouver encore», conclut-il.

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Festivoix «C’est sûr qu’on va faire un festival»

Le directeur général du Festivoix, Thomas Grégoire, demeure lui aussi optimiste, autant que faire se peut. Même s’il ne sait pas encore à quoi ressemblera l’événement cet été, il promet qu’il sera à la hauteur des attentes.

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«À l’heure actuelle, on a plusieurs scénarios sur la table, d’un très grand déploiement à un plus modeste. On se prépare à des formules hybrides, qui mêlent présentiel et virtuel, assez modulables. C’est un beau casse-tête, mais on est riche de l’expérience de 2020. L’an passé, on avait tous été surpris, mais là, ce n’est pas le cas. Alors je pense que ce sera sûrement un festival qui ne ressemblera pas à ce qu’on faisait en termes de volume, mais il sera aussi riche en qualité», promet-il.

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Cette formule «hybride» a d’ailleurs été testée l’automne dernier, lors du micro FestiPunk, un concert des groupes Mute et The Planet Smashers qui avait rassemblé physiquement un peu moins de 250 personnes à la piscine du parc de l’Exposition. Les amateurs de punk avaient eu l’occasion d’assister au concert en différé, sur internet. Selon M. Grégoire, cette formule a été très appréciée et le concert a été vu par de nombreux internautes, au Québec comme à l’étranger.

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Même si elle prépare plusieurs scénarios, l’équipe du Festivoix devra tout de même arrêter bientôt son choix sur l’un d’entre eux. M. Grégoire désigne la fin mars comme étant la date butoir pour prendre cette décision.

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«C’est sûr qu’on va faire un festival, quel que soit le nombre de personnes qu’on pourra recevoir», soutient-il, tout en assurant que la sécurité sera prioritaire.

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Grand Prix de Trois-Rivières «À huis clos, ce n’est pas une option»

Du côté du Grand Prix de Trois-Rivières (GP3R), on est moins catégorique quant à la tenue de l’événement. Le directeur général de l’événement, Dominic Fugère, dit que son équipe travaille elle aussi à préparer une édition 2021, mais si les restrictions sont trop sévères, elle pourrait tomber à l’eau.

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«Faire l’événement à huis clos, ce n’est pas une option, notre modèle d’affaires ne le permet pas. Et au-delà de ça, on se verrait mal bloquer les rues de la ville quand les citoyens ne peuvent pas profiter du party», explique-t-il.

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L’organisation du GP3R espère convaincre la direction de la Santé publique que son événement sera sécuritaire même si de nombreuses personnes y sont rassemblées. Un modèle de station de lavage des mains fonctionnant de manière autonome a été développé en partenariat avec l’entreprise Somavrac. On prévoit aussi une distanciation de 1 m entre chaque bulle familiale dans les gradins. Mais si cette distance devait être plus grande, l’événement ne sera pas rentable, affirme M. Fugère.

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«Si on nous demande une distance de 2 m, on aura une capacité de 15 %. Ce ne sera pas possible, parce qu’on paie pour chaque siège qu’on construit. Mais avec 1 m entre chaque bulle, je pense qu’on a un scénario qui va être en ligne avec les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé et, souhaitons-le, de la santé publique au Québec et au Canada. Ça va permettre d’avoir un événement sécuritaire», croit-il.

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M. Fugère dit par ailleurs s’être réjoui d’entendre le Dr Anthony Fauci, conseiller de la présidence des États-Unis sur la pandémie, déclarer cette semaine à la télévision qu’il serait possible d’assister à un match de baseball en personne cet été. Ce, alors que la crise sanitaire touche beaucoup plus durement les États-Unis que le Canada.

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«Si lui est optimiste, ça me rend optimiste», souligne le chef d’orchestre du GP3R.

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Festival de l’Assomption «Ça va se faire au fur et à mesure»

Au Festival de l’Assomption, on se prépare également en vue d’avoir un événement l’été prochain.

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«Ça se prépare, on a commencé à se rencontrer pour choisir un thème. L’été 2020, ça allait assez bien, c’était assez déconfiné en août. J’espère que, puisque c’est encore assez loin, on sera capable de faire quelque chose d’aussi satisfaisant que l’an dernier. Mais ça va se faire au fur et à mesure, on a encore passablement assez de temps pour se préparer», estime Martin Yelle, directeur de la Mission du Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap.

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La pandémie incite par ailleurs les organisateurs du festival à faire les choses différemment cette année. On pense ainsi à répartir sur l’année les activités culturelles habituellement concentrées autour de la Neuvaine.

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«Le fait d’avoir deux volets, un culturel et un religieux, fait que nous avions deux clientèles qui avaient des attentes différentes. Ça faisait en sorte que les gens qui venaient pour un gros ‘’wow’, culturel se retrouvaient dans un événement religieux et vice-versa, ça déstabilisait des personnes. Ça va rester ouvert à tous, mais je crois qu’en ciblant mieux, ça va nous permettre de mieux respecter les attentes des deux clientèles», explique M. Yelle.

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Cela permettra également au Sanctuaire de dévoiler sa programmation culturelle au fur et à mesure que l’année avancera. La programmation pour la Neuvaine sera dévoilée au cours de l’été.

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L’organisation du Festival de la truite mouchetée se donne jusqu’à la fin du mois de mars ou au début du mois d’avril pour décider si un festival aura lieu du 19 au 27 juin. Mais selon René Lemay, les chances sont minces."},"type":"paragraph"},{"position":26,"text":{"fr":"

«Ça ne regarde pas bien. On n’a aucune nouvelle du gouvernement permettant les rassemblements. Mais il faut aussi être capable de faire des activités de financement, trouver des commanditaires. Chez nous, on fait une vente de billets pour faire tirer un VTT, mais on ne peut pas vendre nos billets dans les salons de chasse et de pêche (car aucun salon n’est tenu). C’est entre 20 000 $ et 25 000 $ de financement qu’on n’a pas. Notre budget est entre 150 000 $ et 200 000 $. Quand tu perds 25 000 $ en partant, ça fait mal.»

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Advenant que le gouvernement donne son aval à des activités populaires, il faudrait que ces activités puissent accueillir au moins 600 personnes, soutient M. Lemay.

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«À 250 personnes, on ne peut pas faire de festival, ça n’arrivera pas financièrement. Avec un bingo, on est déjà à 400 personnes et c’est un autre moyen de financement. Mille personnes, ça serait le nombre idéal. Tu peux te permettre de mettre tes passeports en vente et d’organiser des activités. Il vient au moins 1000 personnes durant les gros spectacles.»

"},"type":"paragraph"},{"position":29,"text":{"fr":"

Le Festival de la truite mouchetée a déjà prévu quelque chose de spécial pour souligner les 150 ans de Saint-Alexis-des-Monts en 2021. Si jamais le festival est annulé pour une deuxième année de suite, il faudra que l’organisation mise une fois de plus sur un soutien gouvernemental pour l’aider à couvrir des dépenses incontournables comme les assurances et les frais de bureau. Sinon, la formule du festival pourrait devoir changer.

"},"type":"paragraph"},{"position":30,"text":{"fr":"

«Si on a encore une subvention, ça va nous aider. Sinon, on ampute le budget. Le festival me tient à coeur. Je ne veux pas que ça tombe à terre», déclare M. Lemay.

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Festival de la galette de sarrasin «Je ne sais pas si ça va valoir la peine»

L’optimisme est moins présent du côté de l’organisation du Festival de la galette de sarrasin de Louiseville.

"},"type":"paragraph"},{"position":32,"text":{"fr":"

«On attend les directives, parce que ça ne s’enligne pas bien pour qu’on puisse faire 100 % de nos activités. Avec les spectacles et les grands rassemblements sur l’avenue Saint-Laurent qui caractérisent le festival, je ne sais pas si ça va valoir la peine si on ne peut pas les permettre. On ne veut pas non plus faire de dépenses inutiles», prévient André Auger, président du festival.

"},"type":"paragraph"},{"position":33,"text":{"fr":"

Ce dernier rappelle que normalement, ce sont 30 000 personnes qui débarquent à Louiseville pour prendre part aux moments forts de l’événement.

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M. Auger indique que le comité organisateur doit se réunir au cours des prochaines semaines pour discuter des options pour l’automne prochain, bien qu’il dispose encore de temps devant lui avant de prendre une décision finale. Il espère que le festival ne sera pas forcé de rester sur pause pour une deuxième année, ce qui pourrait avoir des conséquences sur les prochaines éditions.

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«Ce serait très dommageable. On a peur que ça démotive nos bénévoles et qu’on en perde. Ce serait alors difficile de repartir la machine», prévient-il.

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Expo de Trois-Rivières «On a plusieurs scénarios sur la table»

À l’Expo de Trois-Rivières, on a retenu les dates du 1er au 10 juillet 2021 pour la tenue de l’événement. La directrice générale, Marie-Ève Roy, ne peut toutefois pas encore dire à quoi ressemblera cette édition.

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«On a plusieurs scénarios sur la table. On regarde la possibilité de tenir uniquement des jugements agricoles, pour garder les éleveurs dans le circuit. Parce que ça nous prend beaucoup de public pour que l’événement tel qu’on le connaît soit rentable», mentionne-t-elle.

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L’an dernier, l’événement avait tout bonnement été annulé, puisque le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) n’avait pas donné son feu vert à la tenue des expositions agricoles. Comme plusieurs autres festivals de la région, la décision finale devrait être prise en mars, selon Mme Roy.

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Cette dernière rappelle par ailleurs une autre particularité qui entrera en ligne de compte dans cette décision: la Bâtisse industrielle, normalement utilisée par l’Expo pendant son événement, sert actuellement de clinique de dépistage de la COVID-19.

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«Ça fait partie des choses qu’il faut tenir en compte», indique Mme Roy

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Festival du cochon de Sainte-Perpétue «nous sommes dans le néant»

Sur la rive sud, la tenue du Festival du cochon de Sainte-Perpétue est elle aussi très incertaine.

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«Nous sommes dans le néant, donc on ne peut rien dire, rien faire, rien avancer», résume Michel Jutras, directeur général de l’événement.

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Celui-ci mentionne toutefois que si les règles de distanciation et les directives sanitaires actuelles demeurent en vigueur, le festival n’aura pas lieu.

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Festival Danse Encore «Nous sommes en train d’attacher nos ficelles»

Du côté de Trois-Rivières, l’équipe du Festival International de Danse Encore indique travailler également sur plusieurs scénarios potentiels.

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«Nous travaillons actuellement sur la forme que prendra la 27e édition du festival en juin prochain. Nous sommes en train d’attacher toutes les ficelles. Les dévoilements reliés à notre super programmation 2021 se feront en temps et lieu», a-t-on indiqué par courriel.

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Cette 27e édition devrait avoir lieu du 3 au 6 juin.

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Challenge 255

À Baie-du-Febvre, le Challenge 255 indique sur son site internet les dates du 19 au 22 août pour son édition de 2021. Celle de 2020 avait été annulée. Dans un message enregistré sur sa boîte vocale, l’organisation de l’événement indique que ses locaux sont fermés jusqu’à nouvel ordre, mais avise les festivaliers qui avaient acheté leur laissez-passer l’an dernier que celui-ci sera valide cette année. Rappelons que le Challenge avait tenté d’organiser un événement virtuel l’automne dernier, baptisé Remède 255. Il a toutefois été reporté.

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Le Nouvelliste n’a pas pu parler à l’organisation du Challenge pour avoir plus d’informations.

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Festival des 5 sens

Il n’a pas été possible non plus d’entrer en contact avec l’organisation du Festival des 5 sens de Sainte-Sophie-de-Lévrard. L’an dernier, l’événement a été annulé. Le site internet de l’événement affiche toujours les dates du 30 juillet au 2 août 2020 pour la tenue de sa 13e édition. Sur sa page Facebook, la dernière publication remonte au 30 juillet dernier.

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Avec la collaboration de Martin Lafrenière

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