Selon l’Association des bibliothèques publiques du Québec, l’abolition des frais de retard inciterait davantage de familles à profiter des services des bibliothèques. (ANDRE PICHETTE, LA PRESSE/ANDRE PICHETTE, LA PRESSE)
Trois-Rivières — Alors que l’accès aux bibliothèques a été particulièrement compliqué cette année en raison de la pandémie, l’Association des bibliothèques publiques du Québec (ABPQ) a profité de la Grande semaine des tout-petits pour proposer l’abolition des frais de retard. Selon l’ABPQ, ce geste permettrait d’améliorer de manière significative l’accessibilité des bibliothèques, en particulier pour les familles.