
La vente de propriétés de luxe, un défi pour les courtiers immobiliers
L’exode urbain qui a suivi le confinement du printemps a permis à de nombreuses personnes en région de vendre leur maison. Qu’importe le prix demandé, il était généralement à la portée des acheteurs venant des grands centres urbains, dont Montréal, habitués à payer deux à trois fois plus cher pour un loyer ou une hypothèque dans leur région d’origine. Mais qu’en est-il des maisons de luxe, qui se vendent à un prix qui se compte en millions de dollars? La pandémie a-t-elle aussi eu un impact sur leur vente? Le Nouvelliste s’est penché sur cette question et a recensé les résidences et domaines les plus dispendieux de la région.