«Je voulais le mettre au courant», dit-elle.
Mme Leblanc-Michaud indique qu’elle reçoit une quantité très importante de messages et de témoignages de la part d’étudiants inquiets. «Les étudiants se mobilisent, parlent entre eux, écrivent à leur association étudiante. Quelque chose se passe», dit-elle.
Mme Leblanc-Michaud n’a toutefois reçu qu’un accusé de réception, pour l’instant, de la part du ministre. Elle a également fait parvenir la pétition aux recteurs et rectrices de différents universités au Québec.