
Françoise Hogue Plante
Louiseville, «La détresse de la Mauricie»
LOUISEVILLE — «On ne devrait pas écrire: ‘‘Louiseville, hôtesse de la Mauricie’’, mais plus la ‘‘détresse de la Mauricie’’. Oui, on a l’Âge d’or et un terrain extérieur pour la pétanque. Mais avec un centre communautaire, on a au moins une salle pour organiser des activités. On a des jeux pour les enfants, mais pour les aînés, il reste quoi? Le cimetière!»