
Nicole Poirier, directrice générale et fondatrice de la Maison Carpe Diem.
Aide médicale à mourir et alzheimer: une question complexe à trancher
TROIS-RIVIÈRES — La possibilité de voir l’accès à l’aide médicale à mourir être élargi aux personnes inaptes, notamment celles souffrant d’alzheimer, ne devrait surtout pas faire l’objet d’un amendement à la présente loi sur l’aide médicale à mourir, et mériterait à elle seule une nouvelle commission parlementaire afin de réfléchir collectivement aux enjeux soulevés par une telle décision. C’est du moins l’avis de la directrice générale et fondatrice de la Maison Carpe Diem de Trois-Rivières, Nicole Poirier, qui espère que le gouvernement ne prendra pas à la légère cette réflexion.