
Denise Tremblay, directrice de la maison La Séjournelle.
La Séjournelle est régulièrement en débordement
Shawinigan — Les femmes victimes de violence se voient refuser l’accès à des maisons d’hébergement partout au Canada en raison d’un manque chronique de ressources et de financement, dévoilent deux nouvelles études nationales dont les résultats ont été rendus publics mercredi. Si la maison La Séjournelle n’en est pas rendue à refuser des femmes, elle déborde constamment d’année en année.