Le maire de Bécancour, Maurice Richard. (Photo: Ève Guillemette/Photo: Ève Guillemette)
«Je respecte son opinion mais ne la partage pas.» C'est ce qu'a déclaré, hier, le maire de Bécancour, Maurice Richard, lorsqu'il a été invité à réagir à la déclaration de la chef du Parti québécois, Pauline Marois, suivant laquelle elle fermera purement et simplement la centrale nucléaire Gentilly-2 de Bécancour si son parti prend le pouvoir aux prochaines élections.