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La nouvelle a été confirmée par différentes sources, mais le chanteur n'a pas voulu commenter la nouvelle. Par le biais de sa compagnie de disques, GSI Musique, il a fait savoir qu'il n'émettrait aucun commentaire.
Sur la biographie du chanteur, on peut y lire qu'il est l'aîné d'une famille de six enfants, dont deux soeurs d'origine indienne qui ont été adoptées par ses parents à l'époque où il vivait dans son village natal, à Dunrea, au Manitoba.
Concernant les événements survenus dans ce logement du secteur Cap-de-la-Madeleine, l'enquête de la Sûreté du Québec se poursuit pour tenter de déterminer les circonstances qui ont mené à la mort d'Angela Lavoie sous les balles des policiers de la Sécurité publique de Trois-Rivières. Une autopsie devrait être pratiquée sous peu.
Il semble cependant que les policiers ayant répondu à l'appel aient agi afin de protéger la vie d'une adolescente qu'Angela Lavoie tentait de poignarder. C'est du moins ce qu'a confié la mère de cette adolescente au site internet Troisrivieres911.com.
Selon son témoignage, l'adolescente aurait été menacée avec un couteau par Angela Lavoie. Cette dernière aurait carrément tenté de poignarder l'adolescente âgée de 16 ans, alors que la jeune fille se trouvait couchée sur le dos au sol et qu'elle tentait de se protéger à l'aide d'un sac à main. C'est une autre adolescente qui a contacté les secours.
À l'arrivée des policiers, ces derniers auraient sommé Angela Lavoie d'arrêter et de laisser tomber son arme, ce que la femme a refusé de faire tout en continuant d'être menaçante envers la jeune adolescente.
Toujours selon le témoignage de la dame, c'est au moment où les policiers l'auraient sommé pour une seconde fois de lâcher son arme qu'Angela Lavoie aurait foncé sur les agents, arme à la main. Deux policiers auraient alors fait feu sur elle.
On se souviendra que les événements avaient causé toute une onde de choc dans le voisinage au cours des derniers jours et que certains citoyens avaient critiqué le travail des policiers, disant qu'ils avaient agi peut-être trop rapidement.
Pour sa part, la mère de la jeune femme a plutôt tenu à remercier les policiers pour leur travail qui, selon elle, a permis de sauver la vie de sa fille. Les deux femmes devraient maintenant recevoir un suivi de la part du Centre d'aide aux victimes d'actes criminels, alors que la jeune adolescente serait encore très ébranlée des événements survenus dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier dernier.